La Nouvelle Librairie – c’est son nom – a vu le jour début juillet dans le Quartier latin, au 11 rue de Médicis, dans le 6e arrondissement parisien. Elle sera ouverte du mardi au samedi, de 13 h à 20 h. Animée par François Bousquet, rédacteur en chef d’Éléments, et Vincent, ancien libraire de Facta, elle sera un lieu de rencontre et un espace de débat. Dès la rentrée, nous multiplierons les rencontres, les dédicaces, les événements. Tous les deux mois, chaque livraison d’Éléments se fera l’écho de toutes ces activités.
Éléments a été le catalyseur de ce projet, mais ce n’est pas la librairie d’Éléments. C’est une librairie ouverte à tous les acteurs du renouveau intellectuel. Elle a déjà noué quantité de partenariats, elle en nouera d’autres. C’est l’essence même de notre projet. Fédérer, agréger, réunir. Être une plaque tournante. Contribuer à la diffusion de nos idées, aujourd’hui hégémoniques, mais trop souvent privées de moyens de diffusion. Elles sont vitales, il faut qu’elles deviennent virales.
On y trouvera toutes les publications de la Nouvelle Droite depuis bientôt cinquante ans (hors les épuisées), et il y a de la matière. Les livres d’Alain de Benoist à eux seuls occuperont plusieurs rayons. Ils côtoieront les auteurs du renouveau intellectuel actuel et les classiques du combat des idées. Les livres que nous chroniquons dans les pages Cartouches et dans nos colonnes. Les écrivains proches de nous et ceux dans lesquels nous nous retrouvons, Zakhar Prilepine, Matthew Crawford, Olivier Maulin, Jean-Claude Michéa. Le tout sous les auspices d’une magnifique hure de sanglier, l’animal totémique des Gaulois.
Le livre, la revue, le magazine restent des objets physiques. Ils ne sont pas encore digitalisés. Leur dématérialisation programmée n’est pas encore advenue. Nos lecteurs ne sont pas plus dématérialisés. Cela faisait longtemps que nous caressions l’idée de pouvoir les rencontrer. La Nouvelle Librairie nous le permettra. La rédaction d’Éléments y tiendra ses conférences régulièrement.
Retrouvez-y nous nombreux !
Soutenez d’ores et déjà la Nouvelle Librairie, donnez-lui les livres qui vous encombrent et qui défendent vos idées !
La Nouvelle Librairie – 11 rue de Médicis – 75006 Paris
Du mardi au samedi, de 13 h à 20 h
Une excellente initiative, même pour un provincial.
jlv
Rédigé par : Jean-louis voisin (f. valloire) | 18/07/2018 à 10:47
Avant guerre, librairie de Georges Valois et juste à côté ancienne librairie José Corti qui avait commencé au 3 rue de Clichy.
La boucle est bouclée ;-)
Rédigé par : Jackeroual | 18/07/2018 à 11:31
Et vente en ligne ?
" La mort de la Mort est elle une dose de fétichisation de la marchandise ultime pour gogochon ?
Où un pharmakon pour Capital. Là est la question. " Feric Jaggar
Rédigé par : lansquenet | 27/07/2018 à 19:14
Pour Georges : En souvenir d'un joli exposé sur Vincenot à la maison des ELFES , et d'une Leffe avant de partir ...
Rédigé par : Michel | 04/08/2018 à 18:07
l'ouverture de cette librairie est tres courageux et utile, necessaire et attendu. felicitations
J'ai écrit plusieurs romans d'aventures, à connotation droitière toutefois. je n'ai pas cherché jusqu'à, présent l'édtion mais pourriez vous me conseiller l'équipe éditrice la plus appropriée ?
merci. J'habite cannes et ne viens que rarement a Paris
malheureusement.
Rédigé par : nestor barth | 31/08/2018 à 08:27
Enfin un but dans ce quartier Latin bouffé par les Vuitton et autres Armani ! Merci pour votre courageuse existence
Marine
Rédigé par : Marine Boyer | 29/09/2018 à 12:15
Avec la publication ce jour de son ''Histoire de la sexualité IV, Les aveux de la chair'', Michel Foucault revient en force, grâce à Gallimard, dans une attaque massive et sans limites contre les sacrements catholiques, fondements du christianisme, s'inscrivant dans ce que François Bousquet pourrait commenter par > (référence aux évènements du 31 décembre 2015). Ne pouvant plus attaquer le christianisme par le thème éculé de la répression sexuelle par le sacrement de confession, M.F. l'attaque par l'autre bout, i.e. la recherche par la confession du fidèle de ses pensées, de ses paroles et de ses actes sexuels. Pour faire court, le christianisme en aurait donc plutôt fait la promotion de la connaissance de soi par le sexe. Je me demande ce qu'en dirait Aristote ou Plotin.
Comme le disait un libre penseur de la Nouvelle Librairie: >
Rédigé par : Jean Mosco | 31/10/2018 à 19:31