Vidéo : Zakhar Prilepine appartient à la jeune garde post-soviétique, « les enragés de la jeune littérature russe ». Il en est même l’étendard rouge et noir, bâtard royal de Staline et d’Édouard Limonov.
Ancien commandant des forces spéciales en Tchétchénie, aujourd’hui à la tête d’un bataillon de volontaires dans le Donbass, il vient d’en tirer la matière à un livre paru aux éditions des Syrtes, Ceux du Donbass, Chroniques d’une guerre en cours, qui paraît en même temps que L’archipel des Solovki (Actes sud), époustouflant roman historique sur le premier camp de travaux forcés du régime soviétique. À lui seul, il incarne la revanche de la « katastroïka ». De passage à Paris, il a bien voulu répondre à nos questions. Retrouvez-le également dans la dernière livraison d’Éléments 171, en kiosques, aux côtés de Sylvain Tesson.
Alain de Benoist-c"est tres bien.Et ici Dougin,Prilepin?!Plus que l"horrer...desole
Rédigé par : zenon | 21/03/2018 à 18:15
nouveau droit-c"est patriotes ukrainiens des centaines celestes.Russia-droit-c"est Lenin,Rasputin,KGB,Eglise orthodox russe,Nicolai 2,voleur en loi,Putin...G
Rédigé par : zenon | 21/03/2018 à 18:40