La littérature a ses raisons que la raison ignore. Par quels linéaments, circonvolutions, sourdes capillarités, voire aberrations cascadeuses..., Les visages pâles, troisième roman de Solange Bied-Charreton, nous rappellent Villa Oasis d'Eugène Dabit ? Le souhait n'étant pas de convaincre, ni de poser un axiome mais d'amuser les papilles par quelques affinités électives. Une balise proleptique pour prévenir des objections trop exclamatives. Quant au pitch, l'encadré de la quatrième de couverture y suffira amplement.