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Rédigé par Pascal Eysseric à 11:25 dans Actualité, Médias et polémiques | Lien permanent
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Le Festival international du film fantastique de Neuchâtel (NIFFF) a été début juillet l’occasion, pour ceux qui ne l’avaient pas vu, de découvrir le film Heimatland, réalisé par dix réalisateurs suisses issus de zones linguistiques et de régions diverses.
Lire la suite "La revanche des élites « progressistes » : le film « Heimatland »" »
Rédigé par Patrick Péhèle à 08:57 dans Cinéma | Lien permanent
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Entretien d'Alain de Benoist sur Breizh-info.com
Nice, Turquie, Brexit : est-on en train d’assister à une accélération de l’histoire ?
Il y a déjà eu des attentats en France (et il y en aura d’autres), comme il y a déjà eu des coups d’État en Turquie (et ce n’est sans doute pas le dernier). Le Brexit est plus important, surtout s’il s’avère qu’il aura marqué le début de la déconstruction européenne. Mais cela suffit-il à parler à d’« accélération de l’histoire », expression dont une définition précise est encore à donner ? Plus intéressante me paraît être l’accélération sociale, à laquelle Hartmut Rosa a consacré un excellent livre : « L’accroissement de la vitesse, écrit-il, constitue le véritable moteur de l’histoire moderne ».
Mais cette accélération-là n’a pas grand-chose à voir avec les événements qui font la une des médias. C’est une accélération silencieuse, d’autant plus efficace qu’elle ne fait pas de bruit. Si l’on recherche le décisif, plus que vers Ankara, c’est vers la Silicon Valley qu’il faut se tourner.
Rédigé par Patrick Péhèle à 08:42 dans Actualité, Alain de Benoist | Lien permanent
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David L'Epée rencontre Eugénie Bastié, auteur du livre Adieu Mademoiselle (Ed. du Cerf, 2016) et rédactrice-en-chef politique de la revue Limite, qui s'exprime sur le thème de son essai : la manière dont le postféminisme s'est retourné, par aveuglement idéologique, contre les intérêts des femmes réelles.
Pour en savoir plus : Éléments n°161
Voir la vidéo…
Rédigé par Patrick Péhèle à 16:59 dans Vidéo | Lien permanent
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Vendredi 15 juillet, 10 h du matin. À Nice, des dizaines de corps martyrisés gisent encore sur la Promenade des Anglais sous des bâches blanches, lorsque le fondateur de Mediapart, Edwy Plenel relaie sur les réseaux sociaux un article intitulé « Terrorisme : la crainte d’une réplique de l’ultradroite ». Cet entretien de Jean-Yves Camus, spécialiste de l’extrême droite, a été publié par Libération la veille de l’attentat, le 13 juillet. L’instrumentalisation politique est grossière, elle sera condamnée par l’universitaire, directeur l'Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès 1.
Rédigé par Patrick Péhèle à 23:36 dans Actualité | Lien permanent
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Notre sommaire et un extrait de l'Éditorial
Régions, nations, Europe
Dans l’entre-deux guerres, doctrinaires et théoriciens se sont beaucoup affrontés sur la question de savoir, de l’État, du peuple et de la nation, quelle était la notion la plus importante, celle qui commandait les deux autres. En Italie, on insistait surtout sur l’État, en Allemagne sur le peuple, en France sur la nation. Aujourd’hui, c’est l’articulation, devenue problématique, de la région, de la nation et de l’Europe qui soulève des interrogations.
Lire la suite "Éléments n°161 (Sommaire et édito) le 16 juillet en kiosque" »
Rédigé par Patrick Péhèle à 20:17 dans Actualité | Lien permanent
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Entretien du Cercle Henri Lagrange avec Jacques Sapir [économiste, Directeur d’Études à l'EHESS , directeur du Centre d'Études des Modes d'Industrialisation (CEMI-EHESS) et du groupe de recherche IRSES à la FMSH, coorganisateur avec l'Institut de Prévision de l'Economie Nationale (IPEN-ASR) du séminaire Franco-Russe sur les problèmes financiers et monétaires du développement de la Russie]
Lire la suite "Le souverainisme : genèse et perspectives (entretien avec Jacques Sapir)" »
Rédigé par Patrick Péhèle à 19:33 dans Vidéo | Lien permanent
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• Baisse du QI moyen en Europe, une information bien référencée qui ne semble pas inquiéter outre mesure nos gouvernants qui continuent de célébrer la "diversité" et d'exiger de leurs populations qu'elles accroissent leur "compétitivité". Concernant le fait que la présence des immigrés en France freine la productivité, se reporter au livre de Christopher Caldwell, Une révolution sous nos yeux, éditions du Toucan, 2011, page 75. Novopress
Le Point
• En 2015, et pour la première fois, la population de l'Union européenne a décru malgré l'installation d'au moins 1,9 millions de migrants d'origine non européenne. Ce qui ne dissuade nullement les ONG "humanitaires" de conspuer une "forteresse Europe" qui se fermerait à la "diversité" pour se murer dans le repli sur soi. Le Parisien
Lire la suite "12 juillet : la revue de presse de Pierre Bérard" »
Rédigé par Patrick Péhèle à 18:52 dans Actualité | Lien permanent
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Rédigé par Patrick Péhèle à 08:48 dans Actualité | Lien permanent
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Médée - Pier Paolo Pasolini - Italie - 1969
Le retour en grâce du péplum depuis quelques années, avec son intérêt pour les sujets antiques et mythologiques, ne nous vaudra jamais que des pâles répliques des œuvres de la première vague du genre, et ces dernières, qu’elles soient italiennes ou américaines (comme elles le furent souvent) paraissaient déjà bien fades en comparaison avec les films de Pasolini. Celui-ci, qu’on ne peut certainement pas classer parmi les maîtres du péplum dans la mesure où ses films « à l’antique » ne sont pas réductibles aux codes du genre, a su mieux que quiconque traduire le vieux fonds gréco-romain qui constitue leur substrat. Il s’y prend certes davantage en poète laissant aller son imagination qu’en archéologue spécialisé en histoire ancienne, mais c’est précisément cette liberté baroque, cette sensibilité à la fois terrienne et solaire aux formes les plus sauvages, les plus barbares du beau, qui en font un cinéaste hors du commun. Lorsqu’il raconte Œdipe ou Médée, ce n’est jamais en étranger, c’est en aède enraciné, respirant le même air que ses héros, parlant la même langue, traversé par les mêmes pulsations – comme Italien, comme Latin, comme Européen. Ni le cinéma de nos voisins du nord ni celui des Américains ne parviendra jamais à retransmettre ces mythes autrement que comme une étrangeté, une altérité aussi exotique qu’un récit de science-fiction ou de fantasy, une curiosité vaguement épique passée au filtre de la domestication chrétienne.
Rédigé par Patrick Péhèle à 12:09 dans Cinéma | Lien permanent
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